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Les pays à revenu élevé utilisent l'énergie plus efficacement que les pays pauvres mais produisent davantage d'émissions.

Un grand nombre des pauvres de la planète dépendent directement de l'environnement — agriculture, sylviculture et pêche — pour leur subsistance.

Ce sont eux également qui ont le plus de chances d'être affectés par la pollution de l'air et des eaux et l'utilisation de pratiques non viables de production alimentaire.

Une amélioration de la gestion de l'environnement pourrait améliorer leur vie, accroître leur productivité et favoriser le développement durable.

Près de 20 % de la population mondiale dépendent de systèmes inadéquats d'adduction d'eau pour faire face à leurs besoins quotidiens.

Les populations urbaines sont mieux desservies que les populations rurales, mais il arrive que même l'eau des canalisations municipales soit contaminée par des organismes porteurs de maladies et des polluants industriels.

Les personnes qui n'ont pas accès à de l'eau salubre doivent mener une lutte quotidienne pour satisfaire leurs besoins et sont constamment exposées au risque de maladies d'origine hydrique.


Les pays à revenu élevé utilisent l'énergie plus efficacement que les pays pauvres mais produisent davantage d'émissions. Et à mesure que les pays pauvres se développent, ils utilisent eux aussi l'énergie de manière plus rationnelle — produisant davantage de biens et de services avec la même quantité d'énergie qu'auparavant.

Les économies d'énergie totales résultant des gains d'efficacité sont toutefois plus que contrebalancées par l'augmentation de la consommation totale.

Par conséquent, si ces pays suivent le modèle actuel des pays à revenu élevé, leur utilisation totale d'énergie continuera de croître et, avec elle, leurs émissions de gaz à effet de serre.

Heureusement, les politiques visant à réduire au niveau mondial les émissions de gaz à effet de serre recoupent celles qui visent à réduire la pollution locale et à accroître le rendement énergétique, que ce soit dans les pays riches — qui émettent la plus grande quantité de gaz carbonique — ou dans les pays en développement.

Dans beaucoup de pays en développement, les pauvres sont dans une position précaire, aux confins de l'économie formelle. Ils sont privés d'influence politique, n'ont pas accès à l'éducation, aux soins de santé, à un logement adéquat, à la sécurité personnelle, ࣃ un revenu régulier, et n'ont pas assez à manger.

Dans le monde, le nombre et la proportion de personnes vivant dans la pauvreté extrême ont légèrement diminué jusqu'au milieu des années 90.

Cette baisse concernait surtout l'Asie orientale, notamment la Chine. Mais à la fin des années 90, cette évolution s'est temporairement ralentie dans certains pays asiatiques, pour s'arrêter, et même parfois s'inverser dans d'autres.

Dans le reste du monde, si la proportion de personnes vivant dans la pauvreté a diminué, l'accroissement démographique signifie que le nombre de pauvres a augmenté.

Et dans les pays de l'ex-Union soviétique, la transition économique et sociale en cours a fait tripler la proportion de pauvres.

À ce jour, on compte 150 millions d'enfants d'un poids insuffisant dans les pays en développement. Mais la proportion d'enfants mal nourris diminue partout, sauf en Afrique.

L'insuffisance pondérale accroît le risque de décès et ralentit le développement mental et physique. Et les femmes sous-alimentées ont plus de chances de donner naissance à des nourrissons de poids insuffisant.

Malgré des progrès, des efforts particuliers devront être déployés pour atteindre l'objectif du Sommet mondial de l'alimentation et réduire de moitié, d'ici à 2015, le nombre de personnes sous- alimentées.

 
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